Le collectif soignant d'une clinique psychiatrique humaniste souhaite devenir une Société Coopérative (SCIC)

Débat sur la dissolution, ou non, de l’association

Est-ce que l’énergie reçue change quelque chose pour nous actifs dans l’association, ici, maintenant ?

Oui, reprise d’espoir, émotion, ouverture du champ des possibles.
Retournement de situation, changement de sens, nouveau souffle.
À la construction de l’asso, le groupe pertinent, c’était les soignants.
Débats abondants sur la place des pensionnaires et leur représentativité au sein de la SCIC (paritaire ? collégial ? ) ; ces débats sont relancés par la philosophie de l’ER (prestation de services ⇒ patient = bénéficiaires).
Non-dissolution = comment on se réunit ? comment on distribue la parole ?
⇒ beaucoup de travail !!
L’asso pourrait être le lieu de discussion des soignants, des pensionnaires, du Club, avec l’ER.

Présentation des réflexions des membres du CA : il y a impossibilité de reprise interne en SCIC, or l’objet de l’association c’était la reprise interne. L’association se retrouve sans objet. Par ailleurs, le CA est majoritairement démissionnaire.

D’un point de vue financier, il est nécessaire de clôturer les comptes et de ne pas laisser un passif à l’association si elle devait continuer.

Interventions de l’Assemblée

Vous ne retrouverez pas le même soutien

Un peu tôt pour casser un « jouet si merveilleux »

Réseau existant permettra d’agir face à l’ER

Utiliser les fonds pour faire le bilan et laisser une trace

Tout seul on n’est rien, on existe que par les autres : l’association c’est cette force

Il faut poursuivre sur cet enthousiasme

La Chesnaie est en train de vivre
une histoire différente (depuis le départ de Jeangirard)

Place du Club ? Vertu du positivisme Rembourser les parts OK

Les dons c’est un trésor de guerre, ça doit continuer à faire vivre le projet

Conserver le Conseil de Veillance sous une forme ou une autre

Besoin d’une pause (respiration) pour le staff
pour pouvoir repartir sur de bonnes bases

Dynamique plus compliquée si on dissout puis qu’on recrée
pas compliqué de changer l’objet (AGE)

Outil juridique et extérieur à la clinique pour défendre
les valeurs de la PI face à l’ER

Proposition de pensionnaires de créer une association « À l’aube du présent » pour défendre le modèle de soins dont ils bénéficient (rôle de « vigies »).
Place de la future asso de pensionnaires, dialogue avec la possible poursuite de l’asso des Ami.e.s

CA : fatigue, invitation aux membres présents à s’investir

Tous les soutiens matérialisés par l’association font un poids face à l’ER

Nécessité d’un nouvel objet, facilité du modèle associatif pour se mettre en sommeil le temps d’une pause

Plus de 500 adhérents, c’est important

Pour envisager la poursuite des ami.e.s : nécessité de groupes de travail pour préparer une future AG mixte (avril) pour élire un nouveau CA et définir un nouvel objet

Besoin d’extérieur (globalement, et dans le futur CA)

Futur objet : dimension qui va au-delà de La Chesnaie (nationale ?)

Présence médiatique, forts de notre réseau (émission TV avec Cynthia Fleury ?)

6 mois = court pour reprendre du souffle

FAS (Blois Vienne) Fédération des Acteurs de la Solidarité

Conjoncture politique : état de la santé publique et psychiatrie, infusion du féminisme, des politiques migratoires ⇒ écho grandissant de l’asso

En réponse au délitement des principes de la PI = possibilité de revitaliser

Suggestion d’une AG au 5 septembre (anniversaire) + pas dormir trop longtemps

Attention à articuler toutes les association liées à la clinique